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Pourquoi Vulcan ?

Ce n’est pas en rajoutant 100ch à la meilleure des voitures que tu en feras un engin inoubliable. 

C’est comme ton livre préféré, ton doudou favori lorsque tu étais petit, ou l’odeur du parfum de la personne que tu aimais le plus. Ce qui rend inoubliable ce n’est pas la performance en soi. J’ai un souvenir ému de mes premiers magazines automobiles. Je devais avoir entre 11 et 12 ans et le contenu m’intéressait alors beaucoup plus que la forme. Finalement l’écrin importait peu tant que ça parlait d’automobile. Youtube n’existait pas. Cette profusion de contenu quasiment illimitée n’existait pas. Les occasions étaient rares. La moindre photo, la moindre évocation, la vue à moitié voilée du coin d’un pare-choc d’audi RS2, provoquait un émoi.

Tu ne t’es jamais senti dépossédé de ces émotions ? Je ne veux pas rajouter une énième source d’information pour vendre la dernière création de telle ou telle marque. Ce n’est pas en rajoutant encore un relais supplémentaire dans le rouage bien huilé des départements marketing  que Vulcan va devenir incontournable. 

Tous les créateurs de contenu sur l’auto sont des passionnés. Il n’y a aucun doute là-dessus. Moi au même titre que les autres et sans doute pas plus. Si on se lance dans ce genre d’aventure c’est qu’on aime fondamentalement notre sujet. La chute de rein d’une Alfa coupé Bertone, ou la texture des phares arrières d’une nissan 300ZX au freinage, me remuent plus, émotionnellement, que n’importe quelle musique ou film. J’ai ça dans le sang. 

Mais si les phares de la 300ZX ! Quand au freinage on semble voir l’ampoule s’allumer et remplir progressivement le large vitrage de ces phares immenses comme à l’époque de Ridge Racer. 
Vulcan n’est pas un site où vous aurez les « dernières nouvelles du monde de l’automobile ». Vous pouvez aller partout sur Internet pour ça. Tout la place est là pour vous vendre les dernières nouveautés. On l'oublie mais en 1995 turbo était seul le samedi matin à proposer une émission où on pouvait voir sauter une Audi RS4 au-dessus d’un pont ou une vidéo embarquée en F40 sur le circuit du Mas du Clos ! C'est bien fini tout ça. 

Quoi qu'il suffit d'avoir une Audi RS4 et un pont finalement.

Je préfère célébrer ce que j’aime, ce qui me fait vibrer. Je n’ai pas besoin qu’on me dise quoi présenter pour avoir du contenu. Je sais ce que je veux montrer.
Je veux qu’en lisant ce magazine tu retrouves des sensations perdues. Qu’à la simple lecture tu sentes, tu ressentes, les odeurs, les textures, les couleurs de l’expérience de conduite. Que tu retrouves ce qui faisait le plaisir simple des magazines d’autrefois, des textes engagés et enthousiastes, à l’énergie communicative. 
Et sinon pourquoi Vulcan ? 

Vulcan est à prononcer « vulkane » en hommage à la vulcanisation. Ce procédé chimique qui offre à nos pneus cette consistance semi-collante et en même temps homogène et rigide qui permet d’adhérer à la route, ou pas. Vulcan, comme la vulcanisation permet de relier les molécules comme un super liant. En montant la température, Vulcan est l’agent additif qui relie tous les passionnés d’auto entre eux. Voilà c’est un peu con comme explication mais le nom sonne bien et j’adore l’odeur du pneu brûlé. 

Un nouveau concept

Vulcan est construit autour de deux idées centrales : Les voitures passionnantes ont été construites à toutes les époques et les passionnés de tous âges et de toute obédience automobile ont plus en commun qu’ils ne le pensent chacun. 

Chez Vulcan on adore la presse, sa diversité, sa richesse. On a la chance, en France, d’avoir une presse automobile extrêmement riche. En Allemagne, aux US ou dans les pays asiatiques et même en Angleterre, il n’y a pas une offre de presse automobile aussi diverse. Vulcan veut s’intégrer dans cette culture de richesse culturelle comme un nouveau danseur rêverait d’intégrer les troupes les plus prestigieuses.

Cette presse, on adore aussi la détester, dans ses travers les plus pervers et ses défauts. L’allégeance aux constructeurs et à certains annonceurs tue la liberté de la presse et pas seulement dans le monde des passionnés d’automobile. C’est d’ailleurs un phénomène que je ne comprends pas. Tout le monde est forcément attentif à la sortie d’une nouvelle Ferrari. Pourquoi la marque a à ce point le besoin d’encadrer les signaux de la presse à son égard ? On observe tous les jours les impacts dévastateurs des messages trop encadrés et souvent mal ciblés d’une ligne de communication entêtée. Taper toujours plus fort à côté du clou ne fait pas rentrer ce dernier. 

Chez Vulcan on édite un nombre très limité d’exemplaires. Et on a pour ambition de tout vendre, comme un boulanger adapte sa fournée aux jours de la semaine. L’ère du digital nous permet cette flexibilité avec l’ensemble du monde francophone, alors ne nous en privons pas ! 

Vers le Shop

Les voitures Vulcan

Chez Vulcan nous ne sommes pas sectaires. De la classique, du youngtimer, et parfois même – sacrilège - des voitures modernes. Néanmoins ces voitures ont toutes une portion d’ADN commun, comme les cousins éloignés d’une très longue fratrie. C’est la reconnaissance de ces gènes qui fait que le véhicule est sélectionné ou non pour le magazine. 

Le gène de l’aventure. L’expérience de conduite doit être une épopée perpétuelle. Vulcan se concentre sur des voitures qui ont plusieurs talents et qui offrent une personnalité attachante. 

Nous aimons et roulons avec des voitures de course. Mais vous ne pouvez pas faire un road trip de trois jours dans une voiture arceautée, posée à 20mm du sol, avec -4,3° de carrossage et des trains entièrement rotulés. Le magazine papier se concentrera donc sur des voitures de route. Mais vous pourrez retrouver nos voitures de course dans les newsletters qui viennent avec l'abonnement ! Il n’y a pas de critère de puissance ou de performance, surtout que ces dernières doivent être contextualisées en fonction de l’époque et de la gamme. 

Le gène du pilotage. La voiture doit être passionnante à conduire et à piloter. Ces deux points sont importants mais on ne demande pas la même chose à une grosse berline comme une Audi RS6, qu’à une voiture dédiée au circuit comme une Lotus Exige. Chacunes ont des saveurs particulières dans le pilotage qui se révèlent sur différents terrains de jeux. 

Le gène du rêve. La voiture doit représenter quelque chose. Pour moi les voitures représentent chacune leur époque. Chacun est sensible aux époques qu’il a traversées. Beaucoup de gens sont également nostalgiques ou curieux des sensations des temps révolus qu’ils n’ont pas forcément connus. Les voitures sont des capsules spacio-temporelles qui nous projettent 10, 20, 30, et jusqu’à 100 ans en arrière ! Une Renault 21 Turbo quadra évoquera immédiatement certaines images et certaines odeurs alors qu’une Diablo SV ramènera d’autres souvenirs. Des souvenirs de bruits et de fureur pour ceux qui ont eu la chance d’en croiser ou d’en conduire une, ou encore d’émois virtuels pour les joueurs de jeux vidéo dans les années 90 ! 

On a tous des souvenirs avec toutes ces autos, que ce soit dans la rue, sur les circuits, dans notre garage, dans les magazines à l’époque, sur les murs de nos chambres ou sur nos écrans d’ordinateurs ou de consoles. Relier ces mondes c’est aussi une mission de Vulcan.